Vous envisagez de vendre une maison ou un appartement ?
Alors, laissez-moi vous dire une chose :
Vous devez absolument faire preuve d’une rigueur absolue. Ce qui veut dire qu’il ne faut rien laisser au hasard et contrôler tous les détails de la préparation de votre transaction.
Et pourtant… trop souvent, les propriétaires passent à un côté d’un paramètre essentiel, ou bien ils négligent telle information si importante aux yeux des acheteurs.
Vous voulez un exemple ? Prenez la surface de votre logement. Voilà une information déterminante à toutes les étapes de votre projet de vente, que ce soit pour estimer correctement le prix de la propriété, donner envie aux candidats à l’achat de vous contacter, mais aussi éviter de mauvaises surprises au moment de conclure la transaction.
A priori, c’est simple : quand on vous dit « surface », vous savez tout de suite à quoi ce terme fait référence.
Enfin… vous croyez le savoir. Mais quid des différences entre la surface privative et la surface habitable ? Qu’est-ce qu’on appelle la « surface utile » d’un logement ? Comment calculer la fameuse surface loi Carrez ?
Oui, on s’y perd…
C’est pourquoi j’ai choisi de tout vous expliquer dans cet article !
Pourquoi la surface du logement est si importante dans une vente immobilière ?
Lorsqu’ils trouvent une annonce pour un bien immobilier qui leur plaît, la première question que se posent les acheteurs est : « Combien de mètres carrés fait-il ? ».
Et pour cause : la surface du logement joue un rôle clé dans la perception de sa valeur.
Un prix affiché à 8 000 €/m² paraît très différent selon que votre logement fait 45 m² ou 50 m² !
De plus, dans le cadre d’une copropriété, la loi Carrez impose d’indiquer la surface privative du logement dans tous les documents de vente. Une erreur de calcul peut donc avoir des conséquences sérieuses : si la surface réelle est inférieure de plus de 5 % à celle indiquée dans le diagnostic, l’acheteur peut exiger une baisse du prix… y compris s’il a déjà payé !
Mieux vaut donc être précis.
Les trois types de surfaces à connaître pour vendre votre appartement
Maintenant que vous comprenez pourquoi c’est crucial, passons aux différents types de surfaces et à leur mode de calcul.
La surface habitable : ce que vous utilisez au quotidien
C’est la surface du logement qui correspond aux espaces de vie réellement habitables, donc ceux que vous utilisez quotidiennement.
Sont pris en compte :
- Le salon, les chambres, la cuisine, la salle de bains, l’entrée, le dressing…
- Et plus largement, toutes les pièces dont la hauteur sous plafond est supérieure à 1,80m.
En revanche, il faut exclure les murs, cloisons, marches, cages d’escalier, gaines techniques, ainsi que les caves, garages et balcons.
Bon à savoir : l’affichage de la surface habitable est obligatoire dans le cadre d’une location, mais pas pour la vente d’un lot de copropriété. Pour une maison individuelle, c’est en revanche une information essentielle.
La surface utile : une valeur ajoutée pour mieux vendre
La surface utile est un indicateur intéressant qui tient compte non seulement de la surface habitable, mais aussi de la moitié de certaines annexes au logement. Par exemple :
- Les balcons, loggias et vérandas.
- Les caves, greniers et combles aménageables.
- Les terrasses aux étages, dans la limite de 9 m².
Ce calcul met en valeur les espaces annexes qui apportent un vrai confort au quotidien, même s’ils ne sont pas directement compris dans la surface du logement.
Ainsi, la présence d’un balcon ou d’une cave peut faire toute la différence dans l’esprit d’un acheteur !
La surface privative (loi Carrez) : une obligation en copropriété
La loi Carrez impose aux vendeurs d’un bien en copropriété d’indiquer la surface privative dans les documents relatifs à la transaction.
Elle correspond à la surface au sol du logement, après déduction des murs, cloisons, marches, gaines et embrasures de portes et fenêtres.
Contrairement à la surface habitable, la surface privative inclut les espaces clos et couverts comme certains sous-sols, balcons et terrasses.
Le calcul de la surface Carrez doit être réalisé par un diagnostiqueur professionnel. Pourquoi ? Parce qu’une erreur dans la mesure peut entraîner une baisse du prix de vente si la surface réelle est inférieure de plus de 5 % à celle annoncée.
Comment mesurer la surface de votre logement sans erreur ?
Vous pourriez être tenté(e) de prendre un décimètre et de faire ce calcul vous-même.
Autant vous dire que ce n’est pas l’idée du siècle !
Car entre les différences de surfaces (habitable, utile, privative), les exclusions et les règles spécifiques, il est très facile de se tromper.
Voici mes conseils :
- Faites appel à un diagnostiqueur professionnel. Un rapport officiel vous évitera toute erreur et protégera votre transaction.
- Si vous souhaitez mesurer votre logement vous-même, soyez méthodique. Mesurez chaque pièce une par une, en veillant à respecter les critères de chaque type de surface.
- Prenez en compte les annexes. Un balcon, une cave ou des combles aménageables peuvent donner plus de valeur à votre bien.
Et maintenant, parlons de votre projet !
Vous souhaitez vendre votre logement à Brunoy et vous hésitez sur la surface à mettre en avant dans votre annonce ?
Vous voulez être certain(e) de ne pas commettre d’erreur ?
Je suis là pour vous aider.
Mon rôle consiste à vous accompagner à chaque étape de votre vente, y compris pour estimer correctement votre bien et vous assurer que toutes les informations indiquées dans votre annonce sont exactes.
Contactez-moi pour discuter de votre projet !
Brunoy est une commune résidentielle qui baigne dans un environnement privilégié, en lisière des 3 000 hectares de la forêt de Sénart et en bordure de l’Yerres, le tout à moins de 25 km au sud-est de Paris. Avec son patrimoine architectural varié, constitué de monuments de diverses époques, cette ville de 26 000 habitants du département de l’Essonne constitue une perle rare, très demandée par les familles qui souhaitent échapper au chaos parisien sans trop s’éloigner de la capitale.
